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15 avril 2014 2 15 /04 /avril /2014 23:10
Film / My sweet pepper land

Synopsis et détails

Au carrefour de l’Iran, l’Irak et la Turquie, dans un village perdu, lieu de tous les trafics, Baran, officier de police fraîchement débarqué, va tenter de faire respecter la loi. Cet ancien combattant de l’indépendance kurde doit désormais lutter contre Aziz Aga, caïd local. Il fait la rencontre de Govend, l’institutrice du village, jeune femme aussi belle qu’insoumise...

...

Excellent film, réalisation, acteur, actrice, paysage, histoire, humour, amour... !

Tout y est !

 

T.z

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13 décembre 2013 5 13 /12 /décembre /2013 23:45
Film / The Lunchbox

Synopsis et détails

Ila, une jeune femme délaissée par son mari, se met en quatre pour tenter de le reconquérir en lui préparant un savoureux déjeuner. Elle confie ensuite sa lunchbox au gigantesque service de livraison qui dessert toutes les entreprises de Bombay. Le soir, Ila attend de son mari des compliments qui ne viennent pas. En réalité, la Lunchbox a été remise accidentellement à Saajan, un homme solitaire, proche de la retraite. Comprenant qu'une erreur de livraison s'est produite, Ila glisse alors dans la lunchbox un petit mot, dans l'espoir de percer le mystère.

 

Ce film est un vrai petit régale en tout sens !

j'ai voyager, j'ai ri, j'ai été ému...

un film fort ! Bravo !

 

T.Z

 

 

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23 octobre 2013 3 23 /10 /octobre /2013 22:39
GRAVITY/Film ... Une expérience à vivre en salle !

Sensationnel, époustouflant ! Une expérience à vivre au cinéma avec une 3D et des images des plus spectaculaire ...

 

Synopsis et détails

Pour sa première expédition à bord d'une navette spatiale, le docteur Ryan Stone, brillante experte en ingénierie médicale, accompagne l'astronaute chevronné Matt Kowalsky. Mais alors qu'il s'agit apparemment d'une banale sortie dans l'espace, une catastrophe se produit. Lorsque la navette est pulvérisée, Stone et Kowalsky se retrouvent totalement seuls, livrés à eux-mêmes dans l'univers. Le silence assourdissant autour d'eux leur indique qu'ils ont perdu tout contact avec la Terre - et la moindre chance d'être sauvés. Peu à peu, ils cèdent à la panique, d'autant plus qu'à chaque respiration, ils consomment un peu plus les quelques réserves d'oxygène qu'il leur reste.
Mais c'est peut-être en s'enfonçant plus loin encore dans l'immensité terrifiante de l'espace qu'ils trouveront le moyen de rentrer sur Terre...

 

Les Secrets du tournage 

Le syndrome de Kessler

Les satellites hors d'usage et les déchets laissés par d'anciennes missions spatiales ont engendré une quantité importante de débris risquant de provoquer un accident catastrophique, comme ce qui se produit dans Gravity. C'est un phénomène réel, baptisé "syndrome de Kessler" par la NASA. "C'est un vrai problème", indique le producteur David Heyman : "Chaque vis ou bout de ferraille qui a été abandonné ou jeté se retrouve en orbite et lorsqu'ils se percutent, ils créent davantage de débris encore. Cela met en danger la vie des astronautes, les vaisseaux spatiaux, voire les êtres humains sur Terre."

Un environnement virtuel mais réaliste

La création de l'univers en grande partie virtuel de Gravity a été, tout au long du tournage, influencée par la volonté de réalisme du cinéaste. Il confie : "Dès le départ, Chivo, Tim et moi avons souhaité que les plans soient réalistes, à tel point qu'on ait l'impression qu'on s'est contenté de filmer l'espace. Cela aurait été mon rêve, mais, bien entendu, c'était irréalisable (...) Certes, j'étais conscient qu'il nous faudrait quelques effets spéciaux, mais ce n'est que lorsqu'on a essayé d'utiliser des techniques traditionnelles que je me suis aperçu qu'on allait devoir mettre au point un dispositif inédit pour réaliser le film tel que je l'envisageais". L’essentiel du long-métrage est le résultat d’un mélange entre infographie et animation. Pendant la phase de prévisualisation, les équipes ont élaboré intégralement le film par ordinateur, poussant très loin le processus en raison de l’exigence réaliste fixée.

Elaboration du personnage principal

Sandra Bullock et Alfonso Cuarón ont fait évoluer le personnage de Ryan à mesure du tournage, mais certaines idées étaient déjà bien arrêtées en amont. "Il était crucial, à nos yeux, que le personnage central soit une femme car on se disait qu'il y avait un lien vital entre sa présence maternelle et la Terre", indique le scénariste Jonás Cuarón. Pour lui, il était également nécessaire que cette femme soit une astronaute novice : "Elle a subi un entraînement, mais (...) quand la navette est détruite, elle ne sait pas du tout comment gérer une telle situation de crise", précise-t-il. "Pour que l'ensemble soit cohérent, il nous fallait aussi une sorte de mentor – un personnage capable de la guider et de lui venir en aide en cas de besoin", ajoute Alfonso Cuarón. D'où la présence du personnage de George Clooney.

Niveaux de lecture

Les deux scénaristes expliquent à quel point le film offre différents niveaux métaphoriques de lecture : "Pour nous, Gravity ne parle pas seulement de la pesanteur qui retient l'être humain, mais surtout de ce qui nous rattache à nos racines", indique Jonás Cuarón. "Tout le film est ponctué de plans (...) de la Terre, montrée comme le berceau de toute vie. Et au-dessus de la Terre, une femme, totalement déracinée, flotte dans l'espace. Nous voulions explorer le potentiel métaphorique d'un personnage perdu dans l'espace qui s'enfonce dans l'univers, (...) et qui s'éloigne de plus en plus de la Terre, où se concentrent l'élan vital et les rapports humains. Au-delà des effets et des technologies, il était essentiel que le combat de Ryan apparaisse comme l'allégorie d'un être qui doit (...) traverser les épreuves de la vie. [Sa] trajectoire (...) est celle d'une renaissance", développe son père.

Psychologie du personnage

Le passé du personnage de Sandra Bullock explique sa psychologie et son comportement. Le fait qu'elle ait perdu un enfant donne aussi une autre dimension à l'histoire, comme le remarque la comédienne : "Ryan a perdu un être cher. Elle s'est repliée sur elle-même. Lorsque j'ai parlé de Ryan avec Alfonso, on s'est aperçu qu'on avait la même conception du personnage, et qu'on se posait les mêmes questions à son sujet. Pourquoi nous replions-nous sur nous-mêmes quand nous subissons un drame, alors que c'est le contact humain qui pourrait nous sauver ? (…) En un sens, l'histoire de Ryan illustre à merveille l'adage 'Prenez garde à vos désirs' : elle voulait être seule, et son voeu a été exaucé."

La Light Box - innovation technologique

Afin de pouvoir rendre compte de la gravité "zéro", les équipes de Gravity ont mis au point une technologie totalement inédite, la "Light Box" : un cube aux parois intérieures constituées de panneaux couverts de minuscules lampes LED. Son objectif principal était d'offrir un éclairage que la méthode traditionnelle n'aurait pas permis, comme dans les scènes où Ryan tournoie dans l'espace. Les lampes, les caméras fixées sur des bras robotisés et les systèmes de rotation étaient dirigés à distance par ordinateur.
L'équipe a dû inventer une caméra assez petite et maniable pour enregistrer dans la Light Box. Pour les mouvements des acteurs, une plaque tournante était installée sous le plancher, les renversant ou les soulevant. Un dispositif, le "système de coeur-à-coeur", faisait tournoyer Sandra Bullock et George Clooney face à face. Le producteur David Heyman précise qu'un robot fixé à un bras, nommé Isis, se déplaçait à toute vitesse pour s'arrêter à quelques centimètres à peine du visage de l'actrice.

Solitude à l'écran

Pour le réalisateur, Alfonso Cuarón, Gravity est aussi un film sur la solitude et son actrice a dû affronter le fait d'être seule à l'écran pendant la quasi-totalité du métrage. "Cela peut s'avérer très angoissant pour un acteur de se retrouver seul à l'image pendant longtemps, sans avoir de partenaire. Avec Sandra, nous avons pas mal discuté pour trouver le juste équilibre entre les propos qu'elle pourrait tenir et les gestes qu'elle pourrait faire afin d'exprimer les sentiments du personnage."
Pendant le tournage, la comédienne était souvent isolée dans la Light Box avec pour seul moyen de communication un dispositif d'oreillette, et un panel assez large de sons et de bruitages dans son casque, lui permettant de caler les émotions qu'elle devait exprimer avec le processus de tournage très mathématique. Un isolement répété qui, comme le note le cinéaste, "fait écho à la solitude de son personnage" et que Sandra Bullock a utilisé pour le nourrir : "Dès que je me sentais seule, frustrée ou désemparée, je me disais 'Sers-toi de cette sensation, vas-y, sers-en toi pour le rôle'."

Filmer l'apesanteur

Les équipes des effets visuels de Neil Corbould ont imaginé un dispositif d'une douzaine de câbles pour créer l'illusion que Sandra Bullock flottait en apesanteur. Les câbles classiques ne rendaient pas l'effet désiré, et Corbloud a donc mis au point un système de câbles pouvant être manoeuvré manuellement ou par télécommande grâce à une réplique miniature informatisée du mécanisme.
Six câbles étaient attachés à ses épaules, six autres à sa taille, de chaque côté, pour éviter l'effet de balancier, et le système a été manipulé et piloté par les plus grands marionnettistes. Enfin, pour certaines séquences, d'autres dispositifs auxquels les acteurs étaient attachés permettaient de les faire pivoter à des degrés divers, et des bras robotisés identiques à ceux utilisés dans l'industrie automobile ont rendu possible le tournage d'un certain nombre de plans audacieux.

Père et fils : un scénario à quatre mains

Le scénario de Gravity a été coécrit par Alfonso Cuarón et son fils Jonás. Il s'agit de leur première collaboration scénaristique officielle. Compte tenu de la complexité technique du film, quatre ans et demi ont été nécessaires pour le faire.
Documentation fournie par la NASA
Secret de tournage sur Gravity
La NASA a coopéré lors des recherches, fournissant à l'équipe de Gravity de nombreux éléments de documentation. "On a eu une chance immense que la NASA accepte de nous transmettre leurs documents, et notamment sous forme de photos et de films d'archives", raconte Tim Webber, le superviseur des effets visuels. "D'ailleurs, les astronautes sont d'excellents photographes et nous avons récupéré des prises de vue spectaculaires. En regardant les clichés de la Station spatiale internationale, on se disait 'Si on arrivait à un tel résultat, personne ne croirait qu'il s'agit de la réalité'."

Un défi pour les animateurs

L'apesanteur ajoutant de la difficulté à l'animation virtuelle, les animateurs ont fait appel à un outil baptisé "simulateur de la poupée de chiffon". Mark Solomon, superviseur de l'animation, explique qu'il "s'agit d'un petit personnage souple qu'on pouvait lancer dans l'espace virtuel et qui simulait les mouvements du corps humain. C'était utile pour bien comprendre la manière dont un personnage se déplace dans l'espace."
"Il nous a fallu revoir toutes nos règles physiques, puisqu'en général, nous partons du principe que le mouvement d'un objet est déterminé par son poids", note son collègue, David Shirk. "Nous avons dû remettre en question ces postulats, et accepter l'idée que, par exemple, lorsqu'un objet se met à tournoyer, il continuera à tournoyer indéfiniment – jusqu'à ce qu'il heurte un autre objet qui le déviera de sa trajectoire."

Le choix de la 3D

Gravity a été tourné en 3D. Un choix qui s'est imposé de manière évidente : "Dès le départ, on voulait tourner ce film en 3D car il nous semblait essentiel que le spectateur se sente immergé dans l'espace, comme dans l'histoire. Pour autant, il ne s'agissait pas d'abuser d'effets jaillissants sous prétexte de tourner en 3D. On a essayé d'être subtil… pour donner le sentiment au spectateur qu'il participe au voyage", commente le réalisateur Alfonso Cuaron.

Cuaron et les plans séquences

Le directeur de la photo indique que l'importance du nombre de plans en infographie a offert de nombreuses possibilités concernant les plans séquences, chers à Alfonso Cuaron. "On s'est rendu compte qu'on pouvait aller très loin dans notre démarche. C'est ce qui nous a permis d'obtenir des 'plans élastiques', grâce auxquels on passait d'un plan panoramique à un très gros plan du visage de Sandra, puis on se glissait à l'intérieur de son casque, avant de filmer un plan en caméra subjective et, enfin, un plan large plus neutre. C'est ce qui suscite un sentiment de claustrophobie chez le spectateur", précise-t-il.

Une bande-son bien spécifique

L'univers est un environnement totalement silencieux, d'où la difficulté pour constituer la BO du film : "Certaines séquences sont entièrement silencieuses, mais nous nous sommes dit que si le film tout entier était plongé dans le silence, le spectateur aurait sans doute décroché", déclare Cuarón, le metteur en scène. Avec Glenn Freemantle, qui a conçu les effets sonores, ils ont décidé d'associer le son au toucher : "Le son se propage à travers des vibrations. Lorsque Ryan touche ou heurte un objet, on l'entend à travers elle", précise ce dernier.
Son équipe a utilisé des vibrations et de basses fréquences afin que le spectateur ressente les chocs sans le son fracassant entendu d’ordinaire. Steven Price s'est chargé de la musique. Le cinéaste lui a demandé de faire sans les percussions, l'instrument le plus symbolique de l’action, pour que cela "brouille la frontière entre musique et effets sonores". Le compositeur a donc allié instruments électroniques et acoustiques pour produire des pulsations sans recourir aux percussions.

Les décors virtuels

Les décors virtuels constituent la majeure partie des décors du film. "J'avais l'habitude des effets visuels  (…). Mais cette expérience était totalement différente car nous avons imaginé des décors entiers sur ordinateur (…)", note le chef décorateur Andy Nicholson. Ses équipes ont utilisé les photos des vaisseaux existants et les "infos techniques tombées dans le domaine public" pour obtenir les décors les plus réalistes.
Une démarche étape par étape, comme il le souligne : mise au point des « environnements infographiques » (en images numériques) rudimentaires, évaluation de leur crédibilité, validation par le réalisateur, puis perfectionnement jusqu’au résultat final. L’équipe a également créé un catalogue d’accessoires modélisés sur ordinateur, et ajouté des détails permettant de rendre compte du fait que la station spatiale avait été occupée par des astronautes de différentes nationalités.

Décor en dur : la capsule Soyouz

Le décor de la capsule spatiale russe nommée Soyouz a été construit en dur. "On avait assez de matière pour construire une reproduction fidèle de la véritable capsule Soyouz, à quelques exceptions près, comme la trappe latérale. On a eu la chance d'avoir l'astronaute Andy Thomas à nos côtés, (...) qui nous a appris à manipuler l'interface informatique et les commandes de la capsule", observe Andy Nicholson, le chef décorateur.
"Je voulais savoir précisément comment fonctionnait la capsule et ce qui se passait si j'appuyais sur tel ou tel bouton", déclare Sandra Bullock. Alfonso Cuaron désirant tourner de longs plans séquences dans ce décor, la capsule Soyouz a été construite en différents morceaux. Une quinzaine de techniciens déplaçaient alors les morceaux de décors au rythme des mouvements de la caméra. Pour cela, il a fallu qu'ils répètent scrupuleusement chaque plan !

Coaching de mouvement

Une coach de mouvement a appris à Sandra Bullock à se déplacer comme si elle était en apesanteur, lui montrant des images d'astronautes. La difficulté principale consistait à se mouvoir plus lentement, tout en parlant à une vitesse habituelle. "Le cerveau ne fonctionne pas spontanément de cette façon. Il a fallu que j'habitue mon corps à se comporter comme s'il était dans l'espace. Chaque parcelle de mon corps devait s'accoutumer à l'apesanteur avec grâce et poésie", souligne la comédienne.

"Le meilleur film sur l'espace jamais réalisé" selon James Cameron

James Cameron a déclaré que Gravity était le "meilleur film sur l'espace jamais réalisé" ! Dans une interview pour Variety, le cinéaste a été dithyrambique : "J’ai été abasourdi, absolument terrassé par le film. Je pense que c’est la meilleure photo de l’espace jamais vue, le meilleur film sur l’espace jamais réalisé. J'avais très envie de voir Gravity depuis un bon moment. Ce qui est intéressant dans le film, c’est la dimension humaine. Alfonso et Sandra travaillent main dans la main pour créer ce portrait limpide d’une femme qui se bat pour rester en vie en apesanteur."

L'avis d'un spécialiste

James Cameron n'est pas la seule pointure à avoir été impressionnée par Gravity, puisque le retraité de la Nasa Edwin Eugene Aldrin junior (surnommé Buzz Aldrin), qui a accompagné Neil Armstrong sur la lune en 1969, a trouvé le film très réaliste. Dans un article publié dans le Hollywood Reporter, il explique à quel point il a été impressionné par Gravity, que ce soit au niveau de la représentation de l'espace ou de la psychologie des personnages. La seule réserve que le spécialiste a émise concerne le manque de nuages dans le film.

 

Source : AlloCiné 

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18 octobre 2013 5 18 /10 /octobre /2013 21:33
*Source Allo Ciné

*Source Allo Ciné

Vivez une projection et un voyage unique de 40 minute qui résume (dans les grandes ligne) L'Histoire des trois grande religion monothéiste qui se côtoient les uns aux autres et se partagent Jérusalem la Cite Sainte, en ce moment à la Géode Paris Porte de la Vilette en format Géant 180 degrés...Vraiment très touchant je vous le conseil !

*Synopsis et détails

Survolez les environs de la Cité Sainte, le Jourdain, la Mer de la Galilée et l’extraordinaire site de Massada. Découvrez la richesse de la ville aux 2000 sites archéologiques et, depuis le ciel, appréhendez d’un simple regard, la complexe et singulière proximité du mur des lamentations, de l’Église du Saint Sépulcre et du Dôme du Rocher, lieux parmi les plus saints des trois grandes religions monothéistes. Des images en format géant totalement inédites en raison de la zone d’exclusion aérienne !

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7 octobre 2013 1 07 /10 /octobre /2013 18:15
*Source Allo-Ciné

*Source Allo-Ciné

Un film Extraordinaire et vrai sur ces enfants qui vivent aux quatre coins du globe mais partagent la même soif d’apprendre. Ils ont compris que seule l’instruction leur permettra d’améliorer leur vie, et c’est pour cela que chaque jour, dans des paysages incroyables, ils se lancent dans un périple à haut risque qui les conduira vers le savoir.
 

Jackson, 11 ans, vit au Kenya et parcourt matin et soir quinze kilomètres avec sa petite sœur au milieu de la savane et des animaux sauvages…
 

Zahira, 12 ans, habite dans les montagnes escarpées de l’Atlas marocain, et c’est une journée de marche exténuante qui l’attend pour rejoindre son internat avec ses deux amies...
 

Samuel, 13 ans, vit en Inde et chaque jour, les quatre kilomètres qu’il doit accomplir sont une épreuve parce qu’il n’a pas l’usage de ses jambes. Ses deux jeunes frères poussent pendant plus d’une heure son fauteuil roulant bricolé jusqu’à l’école...
 

C’est sur un cheval que Carlos, 11 ans, traverse les plaines de Patagonie sur plus de dix-huit kilomètres. Emmenant sa petite sœur avec lui, il accomplit cet exploit deux fois par jour, quel que soit le temps…

 

Source Allo-Ciné 

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4 septembre 2013 3 04 /09 /septembre /2013 21:42
*Source Allo Ciné

*Source Allo Ciné

Un film fort émotionnellement et beau dans toute sa photographie...je ne vous en dis pas plus...à voir !  

 

Synopsis et détails

Didier et Élise vivent une histoire d'amour passionnée et rythmée par la musique. Lui, joue du banjo dans un groupe de Bluegrass Country et vénère l'Amérique. Elle, tient un salon de tatouage et chante dans le groupe de Didier. De leur union fusionnelle naît une fille, Maybelle...

 

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5 juillet 2013 5 05 /07 /juillet /2013 21:54

Touchant, Sensible, délicat...très bonne interprétation...intéressant...un bon moment fort...

 

- Synopsis et détails

Jack est encore sous le coup de la disparition récente de son frère. Alors pourquoi ne pas accepter l'invitation d'Iris, sa meilleure amie, dans son chalet familial afin de passer une semaine seul à méditer sur sa vie ? Mais à son arrivée, Jack trouve la maison déjà occupée par Hannah, la soeur d'Iris, venue y soigner une blessure amoureuse. Après une soirée très arrosée suivie de l'arrivée inopinée d'Iris elle-même, le trio va aller de situations délicates en révélations inattendues...

*Source Allo Ciné.com

*Source Allo Ciné.com

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15 mai 2013 3 15 /05 /mai /2013 22:38
Gatsby le Magnifique/Film

Un chef d'oeuvre cinématographique !!! 

 

Synopsis et détails

Printemps 1922. L'époque est propice au relâchement des mœurs, à l'essor du jazz et à l'enrichissement des contrebandiers d'alcool… Apprenti écrivain, Nick Carraway quitte la région du Middle-West pour s'installer à New York. Voulant sa part du rêve américain, il vit désormais entouré d'un mystérieux millionnaire, Jay Gatsby, qui s'étourdit en fêtes mondaines, et de sa cousine Daisy et de son mari volage, Tom Buchanan, issu de sang noble. C'est ainsi que Nick se retrouve au cœur du monde fascinant des milliardaires, de leurs illusions, de leurs amours et de leurs mensonges. Témoin privilégié de son temps, il se met à écrire une histoire où se mêlent des amours impossibles, des rêves d'absolu et des tragédies ravageuses et, chemin faisant, nous tend un miroir où se reflètent notre époque moderne et ses combats.

 

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9 avril 2013 2 09 /04 /avril /2013 22:40

 

ill_Manors-film.jpg


Synopsis et détails

Interdit aux moins de 12 ans avec avertissement 

Kirby, ex dealer, vient de sortir de prison, Ed est une tête brûlée, Michelle, une prostituée sous surveillance et le jeune Jack, se trouve empêtré au sein d'un gang local. Chris est déterminé à se venger et Katya cherche désespérément à fuir ce trouble voisinage. Sans oublier Aaron, notre protagoniste, qui essaie juste d'être un type bien...

Secret de tournage sur Ill Manors

Faits réels

Ill Manors est en partie tiré de faits réels vécus par le réalisateur Ben Drew. Le film a nécessité trois ans de développement avant de pouvoir être tourné : "C’est l’assemblage de plusieurs histoires vraies que moi et mes amis avons vécues, et d’autres que j’ai lues dans les journaux. J’ai juste tout rassemblé dans une narration cohérente où les personnages sont en interaction", confie le cinéaste.

Tournage dangereux

Pendant le tournage du film, l'équipe a dû faire face à des difficultés avec les jeunes du quartier de Forest Gate à Londres. Un ordinateur portable contenant des rushs du film a même été volé par un toxicomane. Cet incident a provoqué l'interruption du tournage le temps de retrouver le malfaiteur afin d'être sûr que les images du film ne soient pas dévoilées.

Casting éclectique

Pour Ill Manors, Ben Drew s'est entouré à la fois d'acteurs expérimentés et de débutants. La plupart des acteurs sont des connaissances ou des amis du cinéaste comme Riz Ahmed, le rôle principal. Le casting a débuté dès août 2010 dans l'East End de Londres. L'équipe a notamment trouvé Ryan De La Cruz (rôle de Jake) en visitant l'école Rokeby de Canning Town, Londres : "Je voulais des inconnus qui avaient déjà en eux le feu sacré. Des gens charismatiques. J’arrêtais même des gens dans la rue, je suis allé voir dans des écoles. (...) Je ne voulais pas me retrouver avec des acteurs bourgeois qui ne sauraient rien du monde dont je voulais parler. Ça aurait été une erreur, il me fallait des gens venus de ce monde", explique Ben Drew.

...

'Un film qui vous plonge dans ces ténèbres d'un monde qui paraît sans issus et qui au fil de l'histoire vous fais comprendre qu'on peut tous se retrouver dans un de ces rôles de vie, il suffit d'une éducation, une vie sans amour, ou de circonstence autre derapant et se retrouver dans la rue et l'on entre alors dans un cercle vicieux où l'on passe de cet enfer ou on y reste ... mais la lumière est toujours présente dans le fond de chacun ... 

 

Expérience à voir...!!!

 

j'y ai ressenti un certain vécu...' 

 

T.Z

 

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3 avril 2013 3 03 /04 /avril /2013 22:11

Une-Bouteille-a-la-mer-20111006061930.jpg


S'il est des vies qui forment un cercle parfait, il en est d'autres dont le tracé est imprévisible et parfois incompréhensible ce que j'ai eu le chagrin de perdre au cours de ma vie m'a aussi enseigné ce qu'il y a de plus précieux... Comme me l'a enseigné un amour qui m'emplit de gratitude...

 

~ Citation tiré de 'Une bouteille à la mer' 

 


 


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Présentation

  • : Ma quête du soi et du non Moi...
  • : Un lieu de vie vers la lumière de soi et du non Moi, un passage où je partage mes textes, mes citations au fil de mes lectures, de mes balades, mes photos et photos de la toile. Un voyage de l'esprit sur la toile, à travers les êtres, les âmes, et le mystère au fil des jours, de tout ce qui m'inspire, me guide, me touche, m’éveille dans ces chemins de l'existence, en cette vie, dans cet Univers Extraordinaire, que nous partageons tous sous un même toit, Le Ciel...
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'Quand le rideau se lévera, tu verras que nous ne savions rien, ni toi, ni moi.'

- Omar Khayyam -

Par Mot Clef...

Seigneur ! Il suffit à ma fierté que Vous soyez mon 'Dieu' et à ma gloire que je vous sois soumis.

Vous êtes tel que je le veux : Faites de moi celui que vous voulez...

-Ali Ibn Abû Taleb-